Depuis le premier trimestre 2008, pic de l’emploi marchand en France, les effectifs employés ont reculé de 600 000 et de 360 000 au cours de la seule année 2009. Nous estimons que l’emploi marchand se stabilisera au cours du printemps ou de l’été. Le taux de chômage s’établirait autour de 10 % fin 2010.
17/03/2010 [Lettre de Rexecode]
La France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et l'Italie ont renoué avec la croissance à des rythmes divers courant 2009 mais les ressorts d’une croissance soutenue ne sont pas encore réunis.
L’économie espagnole a connu fin 2009 un sixième trimestre consécutif de baisse du volume de son PIB qui contraste avec l'évolution de l'activité dans l'ensemble de la zone euro. Selon nos dernières prévisions, l’économie espagnole sortirait de la récession au premier trimestre 2010.
Nous avons estimé l’impact des investissements prévus dans le cadre du grand emprunt sur la croissance à l’horizon 2020 à partir d’une élasticité de la productivité globale des facteurs aux investissements publics de R&D.Les 15 milliards alloués aux secteurs porteurs d'innovation pourraient induire un supplément de croissance annuelle compris entre 0,1% et 0,25% sur la période 2010-2020.
L’impact positif sur la croissance va dépendre de l’ampleur des effets d’entraînement de ces investissements en recherche publique ou de ce financement public de la recherche privée sur l’effort de recherche des entreprises. Il va aussi dépendre du délai avec lequel ces investissements pourront se traduire en gains d’efficacité pour le système productif.
03/03/2010 [Lettre de Rexecode]Amorcé au printemps, le redressement de l’activité en France s’est poursuivi en fin d’année dernière. Ressortant à 2,4 % en rythme annuel par rapport au troisième trimestre, la croissance du PIB a pris un peu d’amplitude sous l’effet d’une consommation des ménages dynamique et de la modération du déstockage.
18/02/2010 [A-noter]Amorcé au printemps, le redressement de l’activité en France s’est poursuivi au cours du quatrième trimestre 2009. Ressortant à 2,4 % en rythme annualisé par rapport au troisième trimestre, la croissance du PIB a pris un peu d’amplitude sous l’effet d’une consommation des ménages dynamique et de la modération du déstockage. Le redressement de la demande interne a soutenu les importations. Les exportations se modèrent. En conséquence, le déficit du solde des échanges extérieurs se creuse à nouveau. Celui des seuls échanges de produits industriels a retrouvé le niveau record inscrit un an plus tôt à plus de 32 milliards d’euros en rythme annualisé (soit 1,7 point de PIB).
17/02/2010 [Lettre de Rexecode]