02/12/2010
La forte reprise d’activité dans les économies émergentes d’Amérique du sud et d’Asie émergente crée un début de tensions inflationnistes. Les autorités monétaires ont réagi par des hausses de taux d’intérêt. La pression à la hausse sur les taux de change conduit les autorités à réagir par des limitations des entrées de capitaux. Cela ne résoud pas la question de l’inflation. Au dilemme classique inflation-chômage se substitue un autre dilemme entre inflation et taux de change. La bonne réponse est évidemment une appréciation contrôlée des taux de change.