A première vue, la situation financière des entreprises françaises semble remarquablement bonne. Le taux de marge est au plus haut, la situation de trésorerie très favorable, les dépenses d'investissement et les résultats d’exploitation plus élevés qu'avant le déclenchement de la crise sanitaire, et la dette nette plus faible. Ce tableau flatteur appelle des nuances en raison notamment du caractère exceptionnel des soutiens publics déployés face à la crise sanitaire.
01/10/2021 [Rexecode dans les médias]Invité de la matinale de Radio Classique, Denis Ferrand est revenu sur les causes de la hausse des prix du gaz et de l'électricité et sur ses conséquences potentielles sur la reprise économique en France, dans un contexte de tensions sur les approvisionnements mais aussi sur les recrutements.
28/09/2021 [Rexecode dans les médias]Hausses de prix, problèmes de recrutement, nécessaire relance de l'économie plaideraient en faveur d'augmentations des salaires en France. Ce n'est pas l'avis de Denis Ferrand qui rappelle qu’en 2020 leur indice mensuel de base a progressé d'environ 1,4%, malgré la crise, et que l'inflation reste contenue. Pour stimuler la demande, l’enjeu serait plutôt de débloquer l'abondante épargne des ménages. Quant à la difficulté à recruter, elle tient davantage à la faible disponibilité de candidats offrant les qualifications requises.
03/09/2021 [Rexecode dans les médias]Après trois années de stabilisation, les parts de marché de la France à l'exportation ont nettement reculé en 2020. S'il est encore trop tôt pour en déterminer le caractère structurel ou conjoncturel, cette rechute nous rappelle que la compétitivité reste le point faible de l'économie française. Sortir du cercle vicieux des pertes de compétitivité, de base industrielle et de revenus, exige à la fois de sanctuariser les allègements de coûts et d'agir sur le long terme pour renforcer les compétences et l'innovation.
18/06/2021 [Rexecode dans les médias]Entre sortie de crise, transition écologique et technologique, les besoins d'investissement des entreprises françaises s'annoncent considérables. Michel Didier, président du comité de direction de Rexecode, explique son projet de fonds d’investissement à capital garanti destiné à soutenir les fonds propres des entreprises en mobilisant l'épargne des Français.Grâce à l'effet de levier, cette garantie publique permettrait de disposer d'une enveloppe de financements d'une toute autre ampleur et à moindre coût que celle des investissements ou subventions publics.
16/06/2021 [Rexecode dans les médias]