Les évolutions divergentes constatées depuis longtemps déjà au sein de la zone euro ne doivent pas se poursuivre et les trajectoires empruntées par certains pays doivent être drastiquement corrigées. La question n’est pas seulement de rééquilibrer les finances publiques mais aussi, et surtout, de redresser la compétitivité de certaines régions.
14/09/2011 [Lettre de Rexecode]
Le risque d’une récession dans la zone euro a gagné en probabilité. S’il se matérialisait, il ne manquerait pas d’avoir des répercussions sur l’activité mondiale. Les échanges commerciaux étant largement intra-zone, l’impact serait conséquent pour les pays membres.Hors zone euro, le Royaume Uni serait l’une des économies les plus touchées. Pour le reste du monde, l’impact d’un ralentissement de l’économie
européenne paraît moins important.
Depuis l’été, les banques européennes sont sous la pression des marchés.Par rapport au niveau qui prévalait avant la crise, la valorisation des banques européennes a été divisée par cinq.
14/09/2011 [Lettre de Rexecode]Cette note décrit l'ampleur des déséquilibres des balances courantes au sein de la zone euro. Déséquilibres que, par manque de surveillance ou par défaut de supervision fédérale, on a laissé s'opérer et se prolonger depuis le milieu des années 2000 et qui menacent aujourd'hui la viabilité de la zone.
06/09/2011 [Points d’actualité]
D’après l'indicateur Coe-Rexecode d’entrée et sortie de récession, la probabilité d’entrée en récession en zone euro n’était que de 7 % en juillet. Par contre, l’indicateur de retournement conjoncturel a dépassé depuis deux mois le seuil annonçant un ralentissement
économique.