Après un premier semestre décevant, l’activité s’est redressée au cours du troisième trimestre en France. Elle a été soutenue par une consommation des ménages, comme des administrations publiques, en nette reprise. L’investissement productif a corrigé son recul du trimestre précédent et la demande extérieure a apporté une contribution positive à la croissance sous l’effet d’un vif rebond des exportations. Les enquêtes de conjoncture continuent de se redresser lentement, toutefois la poursuite de cette reprise passe désormais par une accélération de la mobilisation des facteurs de production (emploi marchand et investissement) qui fait encore défaut
22/11/2005 [Points d’actualité]La dette publique calculée d’après les normes comptables européennes s’élève actuellement (c’est-à-dire à la mi-novembre 2005) à 1110 milliards d’euros. Le montant global représente une moyenne de 18000 euros par français, de près de 45000 euros par français ayant un emploi ou encore de 63000 euros par foyer fiscal imposable à l’impôt sur le revenu (on rappelle qu’environ un foyer sur deux ne paie pas d’impôt sur le revenu)
16/11/2005 [Lettre de Rexecode]Les signes de redressement de l’activité économique se sont multipliés en France pendant l’été. Les enquêtes de conjoncture de septembre et octobre dans l’industrie comme dans la construction et les services reflètent une nette amélioration du climat des affaires
27/10/2005 [Lettre de Rexecode]Le redressement de la situation financière des entreprises observé à partir de l’été 2003 a laissé place dès le début de l’année en cours à une dégradation de leurs résultats. Le taux de marge des sociétés non financières est revenu au voisinage de ses plus bas alors que leurs besoins de financement se sont aiguisés. Les ménages ont vu pour leur part le pouvoir d’achat de leur revenu disponible brut stagner en début d’année sous l’effet de la modération des revenus d’activité et d’un alourdissement des impôts directs
14/10/2005 [Points d’actualité]L’analyse du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2006 est rendue un peu difficile par certains changements de périmètres. En termes de soldes (comparables), le déficit de l’Etat serait stable à 46 milliards d’euros, le solde du régime général de sécurité sociale passerait de 11,9 milliards d’euros en 2005 à 8,9 milliards d’euros en 2006
30/09/2005 [Lettre de Rexecode]