La comptabilité des entreprises cotées est au début d’une véritable «révolution copernicienne». A la vision patrimoniale qui prévalait jusqu'à présent s’est substituée le 1er janvier 2005 une approche financière. De nombreux changements en résultent dans le compte de résultat et dans la présentation du bilan
13/01/2005 [Lettre de Rexecode]L'année 2003 s'était close sur une reprise soutenue de l’activité et se généralisant. Dans le sillage des économies américaine et chinoise, cette dynamique s'est poursuivie au début de l'exercice 2004, celui-ci s'achevant sur le taux de croissance du PIB mondial le plus élevé depuis1988. La croissance mondiale s'est cependant affaiblie au cours de la seconde partie de l'année en relation avec un refroidissement ordonné en Chine. Si ce fléchissement de la croissance est resté relativement inaperçu aux Etats-Unis, il aura été en revanche suffisant pour ramener l'économie européenne dans une zone de stagnation au cours de l'été, soulignant une fois de plus le déficit européen de relais de croissance interne
12/01/2005 [Bilan de l'année]La croissance du PIB a été révisée en baisse. Selon la nouvelle estimation, l'activité se serait même légèrement contractée au cours du troisième trimestre 2004 (-0,1 % l'an) sous l'effet d'un recul, probablement temporaire, des dépenses des ménages
05/01/2005 [Points d’actualité]Plusieurs instituts de prévision comme l’OCDE exprimaient il y a quelques mois une vision très optimiste des perspectives 2005. Selon leur analyse, la reprise économique amorcée en 2003 et 2004 devait se généraliser en 2005 et se traduire pour l’Europe par une nouvelle accélération de la croissance
29/12/2004 [Lettre de Rexecode]La timide reprise que l'économie européenne a connue à partir du second semestre 2003 a déjà perdu de l'ampleur. La croissance du volume du PIB n'est plus ressortie qu'à hauteur de 1,2 % l'an au cours du troisième trimestre après 1,9 % lors du trimestre précédent
16/12/2004 [Points d’actualité]