En février 2005, Alan Greenspan avait créé la surprise avec sa fameuse remarque sur le « conundrum » des taux longs. Il considérait comme une énigme que les taux longs restent faibles alors que le FOMC avait relevé trois fois le taux des fonds fédéraux. Quand un banquier central ne comprend pas, il y a lieu de s’inquiéter. Faut-il voir dans la situation actuelle un nouveau conundrum, cette fois peut-être au niveau mondial ?
07/12/2017 [Lettre de Rexecode]Le 4 juillet, le Premier Ministre a repris dans son discours de politique générale les orientations du projet économique d’E. Macron. Le 11 juillet, le gouvernement a adressé au Parlement le rapport sur l’évolution de l’économie nationale et sur les orientations des finances publiques préparatoire au débat d’orientation budgétaire. Ce rapport lève le voile sur quelques premières décisions. L’ambition de renforcer la reprise économique est bien sûr réaffirmée. Le discours n’a pas pour autant levé l’incertitude sur la cohérence entre les objectifs visés et sur plusieurs mesures du programme du présidentiel.
12/07/2017 [Lettre de Rexecode]Michel Didier expose les idées maîtresses de son ouvrage "L'impôt sur le capital au XXI° siècle". Une réforme de la fiscalité du capital fondée sur quelques principes simples et cohérents permettrait de mieux orienter l’épargne des français vers l’investissement productif et de maintenir cette épargne en France tout en renforçant l’équité fiscale.
01/06/2017 [Communications extérieures]Si le débat sur l'avenir de l'euro vient d’être tranché politiquement en France, la question reste entière sur le plan économique. La zone euro n’est pas aujourd’hui une zone monétaire optimale. La convergence financière à l’entrée dans l’euro a masqué et amplifié des divergences économiques qui risquent d’être fatales à l’union monétaire. L’amélioration de la conjoncture européenne offre une chance de vraie convergence.
11/05/2017 [Lettre de Rexecode]Certains candidats n’excluent pas un changement de monnaie de la France et en font même un fondement de leur stratégie. Aucune disposition du Traité ne prévoit, ni n’organise, l’adoption d’une nouvelle monnaie légale par un Etat membre, mais on voit mal ce qui pourrait empêcher la France de le décider, à ses risques et périls. Toucher à la monnaie, c’est prendre le risque de créer une crise financière majeure. On voit mal quels sont les avantages.
13/04/2017 [Lettre de Rexecode]