25/08/2016
La croissance de l'économie italienne a été nulle au 2° trimestre alors que des facteurs externes (prix du pétrole et dépréciation de l’euro) mais également internes (mesures de soutien à l’emploi, baisse du coût horaire de la main d’oeuvre ou encore la faiblesse des prix) permettaient d’espérer une reprise plus robuste.