16/07/2008
Nous sommes désormais devant un choc pétrolier d’ampleur comparable à celle des deux premiers. Si les effets macroéconomiques sur les pays consommateurs s’avèrent similaires, nous n’en avons enregistré au stade actuel qu’une partie
On peut aussi se demander quelles seraient les réactions des agents et des politiques économiques qui permettraient d’échapper aux conséquences les plus défavorables.
Il faut éviter que le prélèvement pétrolier porte sur l’investissement productif, la politique monétaire doit endiguer le risque inflationniste et les politiques budgétaires limiter à la fois les risques excessifs pour certaines catégories de la population mais aussi l’augmentation très probable des déficits.