The impressive decline in oil prices in the last months is a real “game changer” for economic growth in the Euro area in the short term. Alongside the depreciation of the Euro and the new step in the softening of monetary policy, it implies a positive impulse for growth. This impulse is nevertheless highly differentiated both among countries as well as among economic activities.
28/02/2015 []Après être passé sous les 50 dollars courant janvier 2015, le baril de Brent vient de repasser au-dessus des 60 dollars. Les anticipations de prix sur les marchés qui était baissières se sont renversées à la hausse. La question est de savoir si ce rebond des prix est durable et jusqu’où il peut aller d'ici 2016.
19/02/2015 [Lettre de Rexecode]En 2015, si le cours du baril de pétrole reste au niveau moyen observé depuis le début de l’année, la facture d'importation de la France sera allégée de près de 24 milliards d’euros. Globalement positif pour l'économie, l'impact de cette baisse de prix variera fortement selon les secteurs d'activité et selon les acteurs (entreprises, ménages, Etat).
10/02/2015 [Rexecode dans les médias]Globalement positives à court terme pour la croissance de la zone euro, la dépréciation du change de l'euro et la chute des prix du pétrole auront des effets d'ampleur variable selon les pays. La consommation en Grèce sera la principale gagnante de l'allègement de la facture pétrolière. L'Allemagne et l'Italie bénéficieraient particulièrement de la baisse de l'euro.
23/01/2015 [Analyse et diagnostic]La baisse du prix du pétrole (-50 % en moins d’un an) est analogue au contre choc pétrolier de 1986 (le Brent était alors tombé à 13 dollars). Combien de temps le niveau actuel peut-il durer ? Quelles en seront les conséquences économiques à court et moyen terme sur les pays consommateurs et les pays producteurs ? Quels sont les risques ?
14/01/2015 [Lettre de Rexecode]