La première estimation des comptes nationaux japonais du deuxième trimestre a déçu. Le ralentissement de la croissance à hauteur de 0,8 % l’an est imputable à une décélération sensible des exportations et à un effet stocks fortement négatif.
Toutefois, la demande privée a de nouveau accéléré à la faveur de l’envolée de l’investissement productif. Une compétitivité qui se renforce encore, une progression, même lente, des revenus salariaux, et des entreprises en situation de capacité de financement sont les gages d’une croissance qui pourrait rester au voisinage de 2 %
L’économie mondiale est en forte croissance depuis plusieurs années et elle le restait encore récemment. Cette croissance semble vertueuse puisqu’elle se généralise à de nouveaux pays et n’a déclenché au stade actuel ni tension sur le marché du travail, ni dérive inflationniste significative
15/06/2006 [Lettre de Rexecode]Selon la première estimation de l’Economic and Social Research Institute, le PIB en volume n’aurait progressé que de 1,9 % l’an au premier trimestre 2006, en net ralentissement par rapport au rythme de 4,3 % enregistré en fin d’exercice 2005. La croissance est restée cependant équilibrée avec des exportations toujours très dynamiques mais une demande interne également soutenue qui prend le relais des échanges extérieurs pour entretenir la croissance
19/05/2006 [Points d’actualité]L'année 2005 a confirmé le redressement de la situation économique et financière du Japon.
20/04/2006 [Analyse et diagnostic]Les comptables nationaux viennent de publier les premières estimations des comptes de «l’entreprise France» pour l’année 2005. Ces comptes sont loin de ressembler aux comptes annoncés les jours derniers par nos grandes entreprises, qui sont des comptes consolidés pour l’ensemble de leurs activités mondiales
02/03/2006 [Lettre de Rexecode]