A noter dans ce bulletin : les baromètres d'attractivité EY pour l'Europe et la France (voir le Document de la semaine), une note de l'Insee sur les seniors "ni en emploi ni à la retraite", le rapport 2023 de Janus Henderson sur son indice de la dette souveraine mondiale et un bulletin de la Banque de France sur la liquidité de la dette publique française.
16/05/2023 [Veille documentaire]En pleine séquence "Choose France", EY a publié son baromètre de l’attractivité pour la France et d’autres pays européens. En 2022, la France est restée championne d'Europe avec 1259 projets d’investissements étrangers sur son territoire. Ces investissements sont cependant moins créateurs d’emplois qu’ailleurs, et la part des investisseurs prévoyant de relocaliser leurs activités en France est en recul par rapport à 2021.
15/05/2023 [Document de la semaine]Une étude co-éditée par l’Insee et le Conseil d‘analyse économique analyse l’impact de la hausse du prix des intrants importés et de l’énergie sur les coûts de production de l’industrie française et l’ampleur de sa transmission aux prix de vente. Entre 2021 et mi-2022, les entreprises industrielles françaises auraient répercuté 30% de la hausse des prix des intrants importés et 100% de la hausse des coûts énergétiques sur leurs prix de vente. Ces moyennes masquent d’importants écarts entre entreprises et branches d’activité.
10/05/2023 [Document de la semaine]A noter dans ce bulletin : une analyse par le Conference Board de l'évolution mondiale de la productivité du travail, de la durée du travail et du PIB par heure travaillée, les perspectives d'Allianz Trade sur la productivité et l'emploi en zone euro, une étude économique de l'OCDE sur l'Allemagne ; et pour la France : un point de conjoncture de l'Insee et une évaluation co-éditée par l'Insee et le CAE de la transmission des prix des intrants importés et de l'énergie aux coûts de production et à l'inflation dans l'industrie française (voir le Document de la semaine).
10/05/2023 [Veille documentaire]Selon un rapport de l’Agence internationale de l’énergie, les engagements nationaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre pris lors de l’Accord de Paris permettraient, s’ils sont intégralement respectés et déployés dans les temps, de limiter le réchauffement climatique à 1,7°C en 2100. Par contre, pour espérer atteindre l’objectif d’un réchauffement contenu à 1,5 °C, des mesures doivent être adoptées rapidement : l'AIE identifie quatre catégories essentielles d’objectifs à atteindre d'ici 2030.
03/05/2023 [Document de la semaine]