Le taux d’intérêt des obligations souveraines françaises à 10 ans s’est tendu, dans le sillage des taux américains. Plus inquiétant, l’écart entre le taux français et le taux allemand a atteint courant février un niveau inédit depuis la crise des dettes souveraines de 2011-12. La hausse des taux d’intérêt que nous anticipons compliquera sensiblement la situation des finances publiques françaises, davantage que celle d’autres grands pays européens.
24/03/2017 [Perspectives économiques à moyen terme]Ces dernières décennies, tous les Présidents de la République ont été contraints de réorienter leur action en s’éloignant de leur programme initial. Nous avons donc construit un scénario prévisionnel de l'économie française pour chacun des cinq grands candidats à l'élection présidentielle. Il intègre non seulement les mesures annoncées mais aussi les réactions de l’ensemble du système économique et les actions correctrices qui s’avèreront nécessaires en cours de mandat.
22/03/2017 [Documents de travail]La France affiche, dans un contexte de croissance et d’inflation faibles, une dette publique en hausse, une compétitivité dégradée et un chômage élevé. Le bilan approfondi des déséquilibres macro-économiques de la Commission européenne publié fin février souligne les progrès réalisés sur ces divers points, tout comme la nécessaire poursuite des efforts au vu de l’ampleur des déséquilibres à corriger.
09/03/2017 [Lettre de Rexecode]Le chômage a reculé en France en 2016 grâce à la légère accélération de la croissance observée depuis 2015 d’une part, et d’autre part, aux mesures de politique économique qui ont enrichi la croissance en emplois. Deux d'entre elles prendront fin en juin 2017 (prime PME à l'embauche, formation de 500.000 demandeurs d'emploi), laissant craindre un contrecoup.
23/02/2017 [Lettre de Rexecode]La remontée des taux d’intérêt sur obligations d’Etat a été spectaculaire ces dernières semaines. Depuis son point bas en août 2016, le taux souverain français a regagné 100 points de base. Cette hausse ne nous semble pas en mesure, à ce stade, de fragiliser fortement le marché immobilier, du moins pour sa partie logement. Le risque est un peu plus fort pour l’immobilier de bureaux.
23/02/2017 [Lettre de Rexecode]