L'Insee a décidé, conformément au règles comptables européennes, de requalifier SNCF Réseau en administration publique. La dette publique est en conséquence revue à la hausse. Une décision attendue mais qui s'ajoute à un ensemble de mauvaises nouvelles sur le plan budgétaire. Denis Ferrand, DG de Rexecode et François Ecalle de Fipeco débattent de la trajectoire de la dette publique française: les réformes menées ou annoncées par le Gouvernement permettront-elles de la maîtriser?
07/09/2018 [Rexecode dans les médias]Après le ralentissement du 1er trimestre, l'investissement a renoué en France avec la dynamique des trimestres précédents en progressant de 3,2% l'an au 2e trimestre 2018. Mais, si l’investissement public et celui des entreprises ont accéléré, il n’en va pas de même de celui des ménages. L'investissement logement des ménage s'est contracté de 0,2% l'an, avec l'érosion de leur pouvoir d'achat immobilier.
06/09/2018 [Lettre de Rexecode]En France, le ralentissement qui avait commencé à se manifester au 1er trimestre s’est confirmé au deuxième. L’investissement productif a toutefois a connu un rebond, cependant que l’investissement en logement a diminué. Il en est allé de même de la consommation des ménages, confrontés à un taux de chômage qui reste élevé malgré une légère baisse. Le commerce extérieur contribue négativement à la croissance, les importations s’étant redressées plus fortement que les exportations.
29/08/2018 [Points d’actualité]Le ralentissement de la croissance en début d'année 2018 a concerné l'ensemble de la zone euro, en raison de facteurs extérieurs défavorables (change, pétrole). En France cependant, le calendrier des mesures fiscales a clairement pesé sur la consommation des ménages. Au 2e trimestre enfin, les grèves dans les transports ont constitué un frein supplémentaire.
27/08/2018 [Rexecode dans les médias]La tendance à la baisse du chômage se confirme au 2e trimestre 2018 aussi bien au sens du BIT qu'au sens large (incluant les personnes souhaitant travailler mais non immédiatement disponibles). Elle s’explique par l’ampleur des créations nettes d’emplois salariés privés, créations dont le rythme a cependant nettement fléchi depuis le début de l’année avec le ralentissement de l’activité. S'il se confirmait au 2e semestre, ce ralentissement limiterait le potentiel de baisse du taux de chômage à un ou deux dixièmes de points.
23/08/2018 [Lettre de Rexecode]