Rexecode présente ses perspectives économiques pour la France, l'analyse détaillée du projet de Loi de Finances pour 2022, qui permet notamment d'observer la dérive des finances publiques par rapport à la programmation initiale du quinquennat, ainsi que l’impact de ces prévisions sur les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030.
26/10/2021 [Documents de travail]Parmi la kyrielle de hausses de prix à l’œuvre depuis début 2021, celle des taux de fret maritime pour les porte-conteneurs est la plus spectaculaire. Les indices de référence du secteur ont été multipliés par plus de 4 par rapport à leur moyenne annuelle 2019. Le renchérissement des importations qui en découle occasionne dans le cas de la France un prélèvement de pouvoir d’achat pour l’économie supérieur à 0,1 point de PIB.
26/10/2021 [Points d’actualité]La durée effective annuelle moyenne de travail des salariés à temps complet était en France de 1680 heures en 2019, contre 1955 heures vingt ans plus tôt. Il s’agit la durée la plus faible de l’Union européenne après la Suède. A l'inverse, la durée du travail des non-salariés à temps complet français est parmi les plus élevées d'Europe. Le temps de travail des salariés à temps partiel, soit 18% des salariés en France, se situe au-dessus de la moyenne européenne.
14/10/2021 [Documents de travail]Après un point sur la situation économique en France, marquée notamment par la hausse des prix énergétiques et en particulier de l'électricité, nous avons examiné les perspectives budgétaires (PLF 2022 et Plan 2030). Une troisième intervention était consacrée à la Chine avec un point sur la conjoncture et les pénuries d'électricité, suivi d'une analyse des risques financiers associés aux difficultés rencontrées actuellement par de grandes entreprises du secteur immobilier, Evergrande en tête.
13/10/2021 [Réunions de conjoncture économique et financière]Le projet de budget prévoit une réduction de plus de 3 points du déficit public en 2022, essentiellement grâce au rebond de l’activité et à l’extinction progressive des mesures d’urgence. La poursuite de baisses non financées des prélèvements obligatoires, l’ampleur des dépenses du plan de relance, ainsi que la dynamique plus structurelle de la dépense publique (qui n’est pas significativement infléchie) explique que le déficit approche 5% du PIB. Il risque en outre d’être creusé par le plan d’investissement dont le contenu et le montant tardent à être révélés.
01/10/2021 [Lettre de Rexecode]