La politique exposée par le ministre de l'Economie et des Finances à l'occasion de l'ouverture du débat budgétaire s'efforce de concilier deux objectifs. Le premier est d'éviter de provoquer par des mesures de relance publique des réflexes de prudence ou des comportements restrictifs des acteurs économiques : «si la dépense dérapait au niveau national, ..., entreprises et consommateurs se réfugieraient dans l'attentisme par peur de nouvelles hausses d'impôt».
30/10/2001 [Lettre de Rexecode]Les très graves événements survenus à New York sont encore trop récents pour qu'on puisse en évaluer véritablement les conséquences économiques. On peut au moins tenter d'apprécier le sens de ces conséquences
13/09/2001 [Lettre de Rexecode]Nos perspectives à moyen terme privilégient pour les Etats-Unis le retour à une croissance de 2,4% en 2002 puis de 3,5% par la suite. Pour l'Europe, nous retenons pour 2002 une croissance au mieux égale à celle de 2001 (2,4%), puis un retour progressif un peu au-dessus de 2,5%
28/06/2001 [Lettre de Rexecode]