Le ralentissement attendu de la croissance mondiale pourrait entamer le dynamisme dont font preuve les économies latino-américaines depuis plus de trois ans. Bien que leur résilience semble s’être améliorée, les turbulences financières du mois d’août ont rappelé que les économies latino- américaines étaient loin d’être insensibles au cycle mondial
22/11/2007 [Analyse et diagnostic]Les marchés boursiers ont connu deux corrections importantes en quinze mois, au printemps 2006 et tout récemment en juillet-août 2007. Ces deux corrections sont cependant très différentes à la fois dans leurs facteurs déclencheurs et dans leur contexte économique. Si la crise de 2006 avait été effacée en quatre mois, les suites de la crise actuelle sont beaucoup plus incertaines et sans doute plus durables
29/08/2007 [Lettre de Rexecode]Les turbulences qui ont affecté les marchés boursiers à la fin du mois de février, en lien avec les craintes d’une récession américaine, sont venues rappeler que les économies latino américaines étaient loin d’être insensibles au cycle mondial. Toutefois, outre que ces turbulences ont été surmontées sans accroc majeur, les économies de la zone semblent mieux armées que par le passé pour traverser toute éventuelle phase de ralentissement de la conjoncture mondiale
24/05/2007 [Analyse et diagnostic]Nos perspectives retiennent un léger tassement de la croissance mondiale en 2007. Ce tassement qui ne s’accentuerait pas en 2008 (4,5 % en 2007 comme en 2008, après 5,3 % en 2006) est déjà assez largement acquis
14/03/2007 [Lettre de Rexecode]L’annonce effectuée le 8 janvier par le président Chavez d’un programme de nationalisation dans le secteur de l’électricité et des télécommunications notamment, a entraîné un vif repli de l’indice de la Bourse de Caracas, qui a perdu près d’un cinquième de sa valeur, sans effacer toutefois sa forte hausse de 2006 (156 %). Si les risques de transmission de ce choc boursier à l’économie réelle, aux autres places émergentes ou au marché obligataire semblent réduits, une dépréciation du taux de change sur le marché parallèle paraît probable. Surtout, le programme de nationalisation annoncé par le gouvernement s’inscrit dans le cadre d’une politique visant à renforcer la mainmise du gouvernement sur l’économie qui risque d’accroître les tensions sur les capacités à court terme et de s’avérer insoutenable à moyen terme
17/01/2007 [Points d’actualité]