La demande de logements est principalement déterminée par le nombre de ménages et, pour une faible part relativement constante, par la demande de résidences secondaires. Selon les estimations de l'Insee, la progression annuelle du nombre de ménages est stabilisée autour de +235.00/240.000 en France. En tenant compte du stock de logement vacants et des destructions, le besoin de construction serait d'environ 310.000 logements par an, 360.000 si l'on tient compte du déficit historique de construction.
11/07/2018 [Lettre de Rexecode]Parce qu’il a été à l’origine de la profonde crise débutée en 2007, le secteur de l’immobilier résidentiel américain est l’objet d’attentions particulières. Plusieurs signaux attestent de la proximité d’une zone de risque (prix de la construction et des logements, taux d’intérêt en hausse...). Pour autant, les déséquilibres sur ce marché sont contenus. Les risques paraissent réduits. Ils sont plus de nature macroéconomique que financière.
02/05/2018 [Points d’actualité]Le marché de l’immobilier a connu une année faste en 2017, avec une augmentation des prix de 3,3% selon l’Insee, et une activité en nette accélération. La solvabilité des ménages est soutenue par des conditions de crédit extrêmement favorables, mais elle est érodée par la progression du prix du mètre carré. Au vu de nos prévisions de taux d’intérêt à long terme, la baisse de la capacité d’achat de logement risque de se poursuivre en 2018.
19/04/2018 [Lettre de Rexecode]Alors que l’activité du secteur de la construction est aujourd’hui soutenue en France, les signes d’un possible ralentissement commencent à apparaître. Ce risque concerne au premier chef la construction de logements, qui a plafonné en 2017 et pourrait connaître dans les prochains trimestres une diminution des mises en chantier avec une demande des ménages moins dynamique. Par contraste, l’activité se redresse dans le non-résidentiel.
16/04/2018 [Analyse et diagnostic]En Suède la faiblesse durable des taux directeurs (négatifs depuis 2015) a favorisé la croissance très rapide des crédit hypothécaires et des prix immobiliers. Cette envolée a pris fin à l'été 2017, notamment grâceà la mise en oeuvre dès 2016 de politiques macro-prudentielles et à une accélération de l'offre de logement. Cette dernière a cependant faiblit dans la période récente, augurant d'une stabilisation des prix.
22/03/2018 [Lettre de Rexecode]