07/12/2007
La croissance britannique est à nouveau restée ferme au troisième trimestre à près de 3 % en rythme annuel
Cette performance a eu lieu en dépit du resserrement monétaire jusque début juillet, permettant à la Banque centrale de maîtriser de façon temporaire, les tensions inflationnistes.
La croissance repose principalement sur une consommation des ménages soutenue, dans un contexte de léger rebond des salaires réels, alors que l'investissement des entreprises se modère.
Le secteur des services reste quant à lui étonnamment dynamique, jusqu'ici peu affecté par la crise financière, alors que les inquiétudes sur le marché immobilier se renforcent.