30/05/2005
La croissance a été révisée en hausse au premier trimestre, à 3,5 % l’an au lieu de 3,1 % tandis que l’estimation de la hausse des prix du PIB reste pratiquement inchangée, en accélération au rythme de 3,1 % l’an. Cette vigoureuse croissance nominale facilite la réduction du déficit public mais n’empêche pas le taux de marge des sociétés de se replier. On comprend ainsi la lourdeur de Wall Street depuis le début de l’année
Les comptables nationaux ont révisé à la hausse leur première estimation de la croissance au premier trimestre et, ceci, bien qu’ils aient corrigé à la baisse l’avance de la demande interne totale dont la progression ressort à 4% l’an au lieu de 4,4 %.