Il est certes probable que la crise financière aura des répercussions sur l’économie mondiale et sur l’économie française. Cependant, les indicateurs conjoncturels les plus récents ne montrent pas pour l’instant de ralentissement économique. S’il doit y avoir une inflexion, elle reste à venir.
26/09/2007 [Lettre de Rexecode]Nos perspectives sont assez peu modifiées par rapport à celles du printemps car nous avions déjà anticipé le ralentissement. Elles privilégient une remontée du risque, une baisse des taux d’intervention et la poursuite de la croissance mondiale à un rythme un peu plus modéré.
12/09/2007 [Lettre de Rexecode]Les marchés boursiers ont connu deux corrections importantes en quinze mois, au printemps 2006 et tout récemment en juillet-août 2007. Ces deux corrections sont cependant très différentes à la fois dans leurs facteurs déclencheurs et dans leur contexte économique. Si la crise de 2006 avait été effacée en quatre mois, les suites de la crise actuelle sont beaucoup plus incertaines et sans doute plus durables
29/08/2007 [Lettre de Rexecode]L’envolée de l’euro, qui pourrait se poursuivre jusqu’à peut-être dépasser la barre des 1,40 dollar, menace la croissance dans la zone, et donc l’emploi, à court et plus encore à moyen terme. En dégradant la compétitivité de la zone, elle accélère le processus de délocalisations dans les pays à coûts de main d’oeuvre inférieurs et tend à réduire la base industrielle de nos régions
18/07/2007 [Lettre de Rexecode]Dans la réussite du changement, la question de la méthode est essentielle. L’analyse économique a beaucoup progressé dans l’étude des comportements collectifs et des blocages éventuels. Le nouveau gouvernement a choisi dans certains cas de faire sauter des verrous afin d’initier le mouvement, qui ira bien au-delà des décisions initiales
28/06/2007 [Lettre de Rexecode]