Certains candidats n’excluent pas un changement de monnaie de la France et en font même un fondement de leur stratégie. Aucune disposition du Traité ne prévoit, ni n’organise, l’adoption d’une nouvelle monnaie légale par un Etat membre, mais on voit mal ce qui pourrait empêcher la France de le décider, à ses risques et périls. Toucher à la monnaie, c’est prendre le risque de créer une crise financière majeure. On voit mal quels sont les avantages.
13/04/2017 [Lettre de Rexecode]Nos prévisions à moyen terme procèdent d’une double démarche, avec comme point de départ l'analyse de la position des économies dans le cycle et comme point d'arrivée l'estimation des croissances potentielles. Cette année, nous retenons que, sur un fond de croissance partout affaiblie, le vaste programme de relance aux Etats-Unis se traduira par une trajectoire beaucoup plus heurtée que celle ordinairement retenue pour ce type de projections.
30/03/2017 [Lettre de Rexecode]Une accélération modeste de l’activité mondiale se dessine : la hausse des indices de climat des affaires est très nette aux Etats-Unis et en zone euro, comme celle des exportations asiatiques ou des commandes de biens d’équipement allemands. Pourtant, la croissance pourrait décevoir en début d’année, la hausse des prix pétroliers freinant la consommation des ménages. Il s’agirait toutefois d’un simple trou d’air.
09/03/2017 [Lettre de Rexecode]La remontée des taux d’intérêt sur obligations d’Etat a été spectaculaire ces dernières semaines. Depuis son point bas en août 2016, le taux souverain français a regagné 100 points de base. Cette hausse ne nous semble pas en mesure, à ce stade, de fragiliser fortement le marché immobilier, du moins pour sa partie logement. Le risque est un peu plus fort pour l’immobilier de bureaux.
23/02/2017 [Lettre de Rexecode]Le déficit du commerce extérieur français s’est creusé en 2016, après une amélioration en 2015. La hausse des importations industrielles a dépassé la baisse de la facture énergétique. Parallèlement, l'excédent de la balance des services a fondu. La compétitivité-coût s’est améliorée grâce aux allègements de charges et cet effort doit être maintenu pour conforter l’amélioration des marges, préalable à une restauration durable de la compétitivité.
09/02/2017 [Lettre de Rexecode]