La conjonction de facteurs économiques nouveaux et de politiques monétaires extrêmes a conduit à l’anomalie historique de taux d’intérêt très faibles, voire négatifs. Nous ne privilégions pas l’hypothèse de taux d’intérêt durablement très bas, mais cette éventualité est loin d’être exclue. Quelles seraient dès lors les conséquences pour les acteurs économiques, notamment pour les acteurs financiers ?
01/04/2015 [Lettre de Rexecode]Les perspectives mondiales à cinq ans (2015-2019) que nous publiions traditionnellement en juin, sont avancées cette année afin d'être disponibles au moment qui marque souvent dans les entreprises le début d’une période de revue stratégique. Le dossier complet qui vient d’être présenté à nos adhérents comprend un scénario central et des scénarios extrêmes, certes peu probables mais qu'il faut avoir à l'esprit.
19/03/2015 [Lettre de Rexecode]La Commission européenne a publié fin février une proposition de Recommandation dans le cadre de la Procédure pour Déficit Excessif concernant la France. En substance, la Commission délivre un satisfecit sur le pilotage des finances publiques en 2013-14 et décale à 2017 l’objectif de retour du déficit sous le seuil des 3%. La France doit très sérieusement renforcer ses efforts de consolidation budgétaire, en 2015 et encore plus en 2016-17.
05/03/2015 [Lettre de Rexecode]La publication du produit intérieur brut des pays de la zone euro pour le 4° trimestre 2014 montre que des divergences économiques importantes persistent au sein de la zone. La France est décalée vers le bas depuis plusieurs trimestres. Les facteurs stimulants récents (pétrole, euro) devraient conduire à une amélioration de la conjoncture européenne en 2015, mais les positions relatives des pays dépendront de leurs propres efforts pour consolider la croissance potentielle.
19/02/2015 [Lettre de Rexecode]La BCE a comblé les attentes des marchés en lançant un programme étendu d’achats d’actifs. Pour l'économie, l’impact est plus incertain et en toutes hypothèses plus lointain. Les taux d'intérêt étant quasi nuls, l'effet sur le crédit est douteux. L'impact de la hausse de prix des actifs sur la consommation (effet richesse) est peu significatif en Europe. Le principal mécanisme de transmission est sans doute la baisse de l’euro.
29/01/2015 [Lettre de Rexecode]