La croissance mondiale s’est poursuivie au cours de l’été avec des premiers signes de ralentissement. En Europe et au Japon, ces signes sont récents et modestes. Ils sont visibles aux Etats-Unis mais ils sont loin d’être généralisés. Dans le scénario que nous privilégions pour la fin de l’année et pour 2007, le ralentissement économique serait limité
13/09/2006 [Lettre de Rexecode]
Les comptables nationaux ont révisé à la hausse leur estimation de la croissance du PIB au deuxième trimestre à 2,9 % l’an au lieu de 2,5 %. Ils ont simultanément confirmé leur estimation de l’inflation des prix du PIB au rythme rapide de 3,3 % l’an.
Ceci n’empêche pas les taux d’intérêt à long terme de continuer à baisser. Il est vrai que les taux de marge des entreprises se sont effrités et que le déficit des comptes publics s’est encore réduit tandis que le taux d’épargne des ménages sur l’ensemble du premier semestre 2006 a été revu à la hausse
La croissance de l’économie américaine a nettement ralenti au deuxième trimestre. Les premiers chiffres disponibles pour le mois de juillet suggère que le processus s’est poursuivi non dans la sphère industrielle qui conserve un dynamisme certain mais dans les secteurs non manufacturiers, et singulièrement dans ceux de l’immobilier et de la construction où la correction devient sévère. Les marchés en ont déjà inféré que le resserrement de la politique monétaire est terminé. Mais l’inflation est bien présente tandis que le marché du travail reste encore tendu et que l’inflation salariale continue de s’accélérer
24/08/2006 [Points d’actualité]Comme de coutume à l’été, les comptables nationaux ont révisé les estimations des comptes sur les trois derniers exercices connus. La croissance a été revue à la baisse : deux dixièmes de point en 2003, trois dixièmes en 2004 et aussi en 2005. L’inflation est revue à la hausse : cinq dixièmes de point au total entre 2002 et 2005 pour les prix du PIB
24/08/2006 [Points d’actualité]Les places boursières ont un peu récupéré de la baisse sévère qu’elles ont essuyée de la mi-mai à la mi-juin.Depuis deux semaines, à la veille de la trève estivale qui n’est pas souvent de tout repos pour les marchés, il apparaît que les bourses peinent à poursuivre leur redressement, se réfugiant dans un certain attentisme, tout comme d’ailleurs les marchés obligataires et les marchés de change
12/07/2006 [Lettre de Rexecode]