Le gouvernement a présenté en marge du PLF 2014 une nouvelle trajectoire d’évolution des finances publiques d’ici 2017. Elle tient compte d'un déficit public plus élevé que prévu pour l'année 2013, en raison de recettes fiscales et sociales plus faibles qu'anticipé. Nous examinons la pertinence de ces nouvelles prévisions.
17/10/2013 [Analyse et diagnostic]Le Gouvernement vient de réviser fortement à la hausse la trajectoire de la dette publique française, désormais attendue à 91% du PIB en 2017. C'est la conséquence de l’écart de 20 milliards d’euros entre les recettes fiscales et sociales prévues l'an dernier et les recettes estimées pour 2013.
16/10/2013 [Lettre de Rexecode]Les mesures inscrites dans le PLF 2014 et le PLFSS 2014 représentent une hausse des prélèvements de 9,7 milliards d’euros en 2014. Le cumul des mesures héritées et des mesures du budget 2014 montre un basculement des hausses de prélèvements des entreprises vers les ménages.
16/10/2013 [Lettre de Rexecode]L’expérience montre qu’il n’y a pas de reprise économique sans redémarrage de l’investissement. La création dans le budget 2014 d'une nouvel impôt assis sur l’excédent brut d’exploitation n’est pas une incitation positive ; même assortie de la promesse d'une baisse d'autres impôts à partir de 2015.
03/10/2013 [Lettre de Rexecode]L'impact de la nouvelle contribution sur l’exédent brut d'exploitation des entreprises variera fortement selon les branches. Les quatre secteurs les plus affectés (énergie, télécommunications, cokéfaction-raffinage, industrie chimique) sont caractérisés par une forte intensité capitalistique.
03/10/2013 [Lettre de Rexecode]