La récession se poursuit dans les pays du sud de la zone euro. Au 2ème trimestre 2012, le PIB en volume s’est contracté de 6,2 % sur un an en Grèce, de 3,3 % au Portugal, de 2,5 % en Italie et de 1 % en Espagne.
29/08/2012 [Lettre de Rexecode]La récession européenne s’explique largement par l’incapacité à maîtriser les divergences économiques, l’absence de visibilité sur l’avenir de la zone euro et les réflexes de prudence des investisseurs qui en résultent. Elle est modérée mais pourrait durer. On cherche en effet vainement ce qui pourrait faire redémarrer la croissance.
29/08/2012 [Lettre de Rexecode]La zone euro peine toujours à sortir du cercle vicieux qui lie activité, dette publique et système bancaire. L’activité reste déprimée et les enquêtes de conjoncture sont de nouveau orientées négativement.La consommation des ménages stagne et les perspectives d’investissement vont très certainement être revues à la baisse. Seules les exportations ont apporté un soutien à l’activité jusqu’ici. Mais les signes de ralentissement de l’économie mondiale paraissent se multiplier, ce qui pourrait limiter les ventes de la zone euro à ses partenaires.
18/07/2012 [Lettre de Rexecode]Le PIB de la zone euro s’est probablement contracté au deuxième trimestre 2012, les tensions sur la dette publique et le secteur bancaire ayant entamé la confiance des agents économiques. Pénalisée par le recul de sa compétitivité et alors que la situation financière de ses entreprises se dégrade, la France peine à trouver des relais de croissance.
12/07/2012 [Analyse et diagnostic]Le Conseil européen a abouti fin juin 2012 à des décisions visant à contrer la crise des finances publiques en Europe (Pacte pour la croissance et l'emploi, projet d'Union bancaire, etc.). Au vu des incertitudes sur les modalités d’application et de la nouvelle dégradation de la situation économique, les marchés restent inquiets.
11/07/2012 [Analyse et diagnostic]