Au Royaume-Uni la croissance du PIB est restée soutenue au troisième trimestre mais elle a probablement dépassé un pic. Le ralentissement probable de la croissance et la faiblesse de l'inflation éloignent la perspective d'une hausse des taux tandis que le déficit public se creuse.
22/12/2014 [Points d’actualité]En dépit d'une croissance dynamique au 3° trimestre, la banque d’Angleterre a laissé inchangé son taux directeur et revu à la baisse ses prévisions de croissance en raison notamment de la faiblesse de l’activité européenne. Il est vrai que l'inflation salariale reste basse malgré la baisse du chômage et que le crédit ne se redresse pas.
13/11/2014 [Lettre de Rexecode]Au Royaume Uni, malgré une activité soutenue et un chômage en baisse, l’absence d’inflation salariale et la baisse des tensions sur les marchés pourraient conduire à repousser la remontée des taux d’intérêt directeurs au-delà de la fin de l’année 2014. Lors de sa dernière réunion, deux membres du comité de politique monétaire ont cependant plaidé pour une remontée immédiate.
27/08/2014 [Lettre de Rexecode]Le Royaume-Uni affiche une croissance vigoureuse depuis le second semestre 2012 . Elle ne devrait pas se démentir à court terme mais reste délicate à expliquer, d'autant que plusieurs faiblesses spécifiques à l'économie britannique persistent voire se sont accentuées.
10/07/2014 [Analyse et diagnostic]La reprise de l’économie britannique se poursuit. Toujours en baisse, le taux de chômage est ressorti à 3,2% (définition britannique) en mai, s’éloignant un peu plus du seuil initialement fixé par la banque centrale britannique pour déclencher la remontée de son taux directeur.
19/06/2014 [Lettre de Rexecode]