L’accroissement de 5 % de l’investissement industriel attendu pour 2006 ne permettra probablement pas d’inverser significativement la tendance à la contraction de la base industrielle installée en France, tendance qui s’est amorcée en 2002. Outre que cette progression des dépenses d’investissement reste encore timide au regard de l’amélioration, présente, du climat des affaires, seule une fraction très marginale de ces dépenses aura pour destination un accroissement des capacités de production dans l’industrie
18/05/2006 [Points d’actualité]La hausse des taux d’intérêt à long terme se poursuit et les courbes de taux se repentifient. Ceci n’entame pas jusqu’à présent l’optimisme des marchés d’actions qui restent bien orientés pour la plupart d’entre eux, soutenus par les bons résultats des sociétés qui continuent de profiter du dynamisme de l’activité mondiale
26/04/2006 [Lettre de Rexecode]Le secteur du bâtiment et des travaux publics a été une fois de plus l'élément dynamique de l'économie française en 2005 . Dans une économie qui a progressé de 1, 5% en volume, la FBCF en construction a augmenté de 2,8 %. L'ensemble des agents économiques ont contribué à la croissance du secteur.
20/04/2006 [Analyse et diagnostic]L'investissement en construction des ménages français a été très dynamique en 2005. Le niveau atteint en 2005 est un record historique puisqu'il n'avait pas été atteint depuis 1974, année où il se construisait 551 000 logements par an, dont près de 55 % en immeubles collectifs. Aujourd'hui cette proportion est passée à 39 %. L'expansion de la demande de logements s'est faite grâce aux conditions de crédits exceptionnelles. La variable fondamentale qu'est la démographie continue de jouer positivement, le nombre de ménages continuant à augmenter avec le vieillissement de la population et les changements sociologiques. Toutefois, les hausses de prix à deux chiffres ne semblent pas extrapolables à moyen terme, surtout en raison de la dégradation de la solvabilité des ménages. Le marché immobilier pourrait donc connaître une forme d' «ajustement», dont l'amplitude dépendra des hausses des taux d'intérêt.
20/04/2006 [Analyse et diagnostic]Les enquêtes de conjoncture dans la zone euro sont bien orientées dans la plupart des secteurs. Aprés avoir été maintenu à 2% pendant plus de deux ans, le taux de refinancement de la Banque Centrale Européenne a été augmenté de 25 centimes en décembre 2005, puis le 2 mars 2006
12/04/2006 [Lettre de Rexecode]