Les places boursières ont un peu récupéré de la baisse sévère qu’elles ont essuyée de la mi-mai à la mi-juin.Depuis deux semaines, à la veille de la trève estivale qui n’est pas souvent de tout repos pour les marchés, il apparaît que les bourses peinent à poursuivre leur redressement, se réfugiant dans un certain attentisme, tout comme d’ailleurs les marchés obligataires et les marchés de change
12/07/2006 [Lettre de Rexecode]Les trimestres se suivent et se ressemblent pour les comptes des sociétés non financières installées sur le territoire. Leur taux de marge s’est à nouveau érodé et le taux d’autofinancement de leurs investissements recule à 60,5%. Ce niveau est inédit depuis 1983. Ce recul s’explique en premier lieu par la contraction des profits (avant distribution) qui s’opère depuis deux ans et non par une accélération des dépenses d’investissement. Cette situation est très atypique et relève d’une nouvelle exception française, les résultats des entreprises restant orientés à la hausse aux Etats-Unis comme dans la zone euro
30/06/2006 [Points d’actualité]Le système français de Sécurité sociale a été construit il y a environ un demi-siècle plutôt dans une logique d’assurance professionnelle autour de quatre risques : maladie, famille, chômage, accidents du travail. Les risques de chômage ou la vieillesse n’étaient pas à l’époque les premières des priorités
28/06/2006 [Lettre de Rexecode]Après une correction sévère qui a pris des allures de krach sur certaines places des pays émergents, n’épargnant ni certains marchés de produits de base, ni certaines devises, les marchés d’actions restent à la peine. Pourtant aucun indicateur conjoncturel publié ces derniers jours n’annonce un risque de rupture de la croissance mondiale à horizon visible
31/05/2006 [Lettre de Rexecode]L’INSEE a publié conjointement les premières estimations des comptes nationaux du premier trimestre et des comptes annuels pour l’exercice 2005. Ces derniers dépeignent des évolutions moins favorables qu’initialement estimé par les comptes trimestriels que ce soit au niveau de l’équilibre emplois-ressources ou au niveau des comptes d’agents. La croissance observée au cours du trimestre écoulé a été grevée par un aléa associé aux variations de stocks. Son inscription prolongée sur un rythme soutenu, qui serait nécessaire pour l’atteinte des objectifs gouvernementaux de croissance, paraît difficilement atteignable dans un contexte où la montée des pressions sur les taux d’intérêt, les cours des matières premières et la nouvelle appréciation de l’euro risquent de peser négativement sur une situation financière des agents privés déjà fragile
31/05/2006 [Points d’actualité]