01/02/2019
En 2018, la croissance de la zone euro a atteint son rythme le plus faible depuis la reprise de 2014. Ce ralentissement de l'activité, qui s'est accentué en fin d'année, a particulièrement touché l'Allemagne et l'Italie et dans une moindre mesure la France, mais a épargné l'Espagne. Il résulte d'un ensemble de facteurs, dont le principal est le choc normatif qui continue de peser sur le secteur automobile. Le climat des affaires reste morose en janvier et les indicateurs avancés ne suggèrent pas de rebond dans les prochains mois.