02/12/2009
Initialement estimée à 3,5 % l’an, la croissance a été ramenée à 2,8 % l’an. C’est surtout la consommation des ménages qui a été revue à la baisse. La dégradation du marché du travail qui est d’une exceptionnelle sévérité, résultat de la rapidité avec laquelle les entreprises ont réagi pour défendre leurs comptes, pèse sur les revenus d’activité des ménages.