16/01/2014
Si 2013 a été l’année du retour de l’appétit pour le risque, un nouveau cycle financier n’est pas pour autant véritablement engagé. Les volumes d'activité restent faibles en dépit d'une liquidité abondante, les facteurs de risque ont diminué mais n'ont pas disparu.
2013 a été l’année du retour de l’appétit pour le risque dans un contexte où les inquiétudes macroéconomiques et financières se sont plutôt apaisées. Le cycle financier n’est pas pour autant véritablement engagé.
Les volumes d’activité restent faibles. La liquidité est abondante mais elle ne s’investit que très modérément. Le risque a diminué dans le monde mais il n’a pas disparu (pays émergents, systèmes financiers, zone euro).
Un nouveau cycle d’expansion financière paraît possible. Il faudrait pour qu’il se développe vraiment une accélération de la croissance mondiale. En 2014, la volatilité l’emportera probablement sur le directionnel.